L’IRIS estime qu’offrir un repas gratuit quotidien à tous les élèves du réseau scolaire public québécois coûterait 1,7 milliard de dollars par an. Le Canada est l’un des rares pays du G7 sans programme national d’alimentation scolaire, et seulement 12 % des élèves primaires canadiens en bénéficient. Bien que des initiatives partielles existent au Québec, elles sont sous-financées et inégalement réparties. L’IRIS propose de financer ce programme en réduisant les paiements au Fonds des générations. Le ministre de l’Éducation rejette cette idée, malgré les avantages potentiels pour l’éducation, la santé publique et l’économie locale.

  • barberousse@lemmy.caOP
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    1 year ago

    N’empêche que ça pourrait réduire la facture d’épicerie pour les familles, réduire la consommation des jeunes de malbouffe et offrir des produits locaux. C’est une mesure qui a des avantages sur plusieurs points. C’est un investissement pour les familles et la santé.

    • swan_pr@lemmy.ca
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      1 year ago

      Absolument, et c’est pourquoi ça plaît pas au gouvernement. Un projet qui ne rapporte pas à court terme, tant en argent qu’en faveurs électorales, ça n’a aucune chance.

  • Bonsoir@lemmy.ca
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    1 year ago

    On dépense plus du tiers de ça pour créer 300 et quelques emplois dans une usine à batteries. Pensez aux emplois qu’on maintiendrait en nourrissant un million d’élèves…