Je me rappelle encore d’avoir vu ça à la télé et comment il était assis dans la chaise du président de l’Assemblée et qu’il respirait tellement fort qu’on voyait sa poitrine se gonfler. Il avait tiré sur les bancs des députés qu’il voulait assassiner, dont René Lévesque. Jusqu’à ce qu’un autre député le convainc d’abandonner et de venir lui parler dans son bureau pour sauver tout le monde et leur permettre d’évacuer.
Y’a l’doua. (Hommage a M. McDermott, du remblai illégal, également résident de Cantley).
Sans blague, on serait surpris de voir la quantité de gens qu’on croise au quotidien et dont on ignore le passé/le bagage.
Même en milieu hospitalier, les patients connus et diagnostiqués par la psychiatrie ne sont qu’une infime partie (lire <10%) des gens ayant besoin de ressources. C’est le restant, qui fait peur.