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Cette intellectuelle, féministe engagée, l’une des premières femmes à avoir réussi à s’imposer dans les médias québécois, était connue pour son franc-parler. Elle a succombé en raison de « complications après des examens médicaux », selon Québecor.
ouin, c’est sûr que quand on se compare à la société en générale en 1990, c’est facile d’être féministe. La barre n’était pas haute. Ce qui m’énerve c’est son gatekeeping. genre " moi dans mon temps j’étais progressiste et maintenant on a plus besoin d’améliorer quoi que ce soit parce que dans d’autres pays c’est pire …" Ou que les jeunes ne savent plus écrire parce que personne utilise les tournures de phrases littéraires obscures utilisées en 1950. Désolé ,mais aucune langue n’est figée dans le temps . Elle avait un mépris de classe caché.