L’application de la « loi 96 » sur la langue française aux sites transactionnels d’entreprises étrangères continue de faire des vagues. La Presse a répertorié une douzaine d’entreprises qui ont cessé de vendre leurs produits et services dans la province. Au grand dam de nombreux Québécois.
Même avant la loi 96 oui j’ai vu ce genre de politiques être appliquées, surtout dans les banques et agences gouvernementales du Québec. Assez rare, mais ça m’étonnerait pas que plus d’entreprises prennent cette decision juste pour être sur.
J’ai aussi hérité certains projects fait par des développeurs pro-francophones qui ont été “on est au Québec icitte, je code en français, moi de l’anglais j’en veux pas”.
La loi 96 dit que les entreprises passé une certaine taille doivent rendre possible aux travailleurs de travailler exclusivement en français s’ils le veulent. Y’a aussi toute l’affaire des 6 mois et forcer les gens à communiquer en français même si les deux personnes préfèrent se parler en anglais, voir une 3e langue, notamment les médecins à Montréal.
À mon avis, forcer les gens ça fonctionne pas. Donnons des raisons aux anglophones d’apprendre le français par le désir de communiquer et non pas la menace de les laisser crever à l’hôpital parce que leur 6 mois est passé. Le message du Québec est clair: si tu parles pas français, t’est pas le bienvenue du tout.