Pour un deuxième sondage consécutif, la Coalition avenir Québec de François Legault se retrouve derrière le Parti québécois dans les intentions de vote, une situation périlleuse que le premier ministre attribue à des décisions impopulaires de son gouvernement.
D’un côté, j’apprécie qu’on donne une voix à la population mécontente, mais de l’autre je trouve qu’il se commande beaucoup de sondages pour un palier de gouvernement qui ne sera pas en élection avant trois ans. La CAQ souffre déjà de trop gérer par sondage ; ça ne les ramènera pas. L’électoralisme perpétuel est un piège pour la démocratie.